nous présente les fruits de son confinement …
Le lieu s’arrache à l’espace
À la limite d’un enfermement délivrant, un rituel s’impose, une fenêtre s’ouvre sur un multivers. La magie opère.
Dans la chambre/bureau une entrée vers un état lucide, par où traverser l’absence, adoucir la solitude, retrouver le rêve et invoquer ses compagnons.
Je prends l’habitude de superposer certitudes et inquiétudes…
J’étale, m’étale, comme sur un autel, mes impressions du temps passé qui se dilate jusqu’à figer. redevient présent.
Avec un certain recul, je le compose, joue a capturer le reflet d’une émotion, recompose et transforme en un mouvement qui échappe au temps, marque la surface par son effacement.
Il traverse par delà..
Vers un futur encore incertain.
Une tentative de transmettre des petits mots, des messages d’amour, de la patience ou de l’assurance.. l’odeur des roses, ou encore parfois des larmes distillées, lorsqu’elles échappent au temps.