10 views on migration

10 VIEWS ON MIGRATION
Exposition itinérante 
du 18 Mai au 02 Juin 2024 à Elbirou
Vernissage le Samedi 18 Mai 2024 à partir de 17h
Les films ont plusieurs vies. Ceux de « 10 views on migration »* ont connus les festivals de cinéma, les projections publiques et autres événements. Ils se proposent à vous aujourd’hui sur des tablettes à travers une exposition itinérante. Un format plus intime et de proximité, autour d’une thématique qui reste d’actualité et qui mérite réflexion et débat.
Cette exposition présente différentes perspectives de jeunes cinéastes africains·e sur la migration, à l’intérieur et à l’extérieur du continent. Des courts-métrages documentaires racontent des histoires d’émigration et d’immigration avec un éclairage nouveau. L’accent est mis sur des expériences et perspectives qui sont rarement abordées dans les médias grand-public, comme par exemple la question des migrations intarcontinentales africaines, ou encore la détermination et la créativité dont font preuve de nombreuses personnes migrantes.
Les courts-métrages sont visionnés sur les tablettes mises à disposition .
« Exilées » de Ager Oueslati (Algérie, 13 min)
« Across the horn /Traverser la Corne » de Oualid Khelifi (Djibouti, 20 min)
« Luntango/ Etranger » de Muhammed Lamin Jadama & Vanessa Macedo (Gambie, Allemagne, 16 min)
« Ahl Al Kahf » de Fakhri Ghezal (Tunisie, 18 min)
« Ma nouvelle vie européenne » de Abou Bakar Sidibé (Mali, 22 min)
« Teranga / Transit » de Mamadou Dia (Sénégal, 17 min)
« Searching for Ghazala/ A la recherché de Ghazala » de Bassam Murtada (Egypte, 20 min)
« Syncopation » de Charles Tschuma (Afrique du Sud, 15 min)
« Ben ba Bato » de Christophe Nyemeck (Cameroun, 10 min)
« 10 views on migration » (10 regards sur la Migration) est un projet de courts-métrages documentaires réalisés par des cinéastes africains qui ambitionne de contribuer à susciter des regards de « l’intérieur » sur la migration et de démultiplier les perspectives sur une question politique au centre de tous les débats contemporains. En impliquant des cinéastes de la région, l’accent a été mis sur la migration Sud-Sud, phénomène rarement abordé par le cinéma documentaire.