Arij Messaoudi

Le vécu représente un commencement et un cheminement à reconstituer ; c’est le don d’une seconde vie. « L’enfance n’est ni nostalgie, ni terreur, ni paradis perdu, ni Toison d’or, mais peut être horizon, point de départ » dit G.Perec

L’amnésie devient un territoire de reconnexion de soi tantôt avec sa conservation, tantôt avec son altération. C’est à la fois une source d’ouverture à une nouvelle vie et un témoin d’existence. C’est ce que l’on peut retrouver dans cette proposition artistique; des souvenirs à la fois conservés ou confinés et d’autres pétrifiés d’où le support visuel et conceptuel est la bande pelliculaire ; cette paroi qui cache au-dedans d’elle des séquences de vie personnelle.     La pellicule devient le matériau fédérateur d’une recherche de soi qui transite par un retour vers le passé comme lieu d’interrogations plastiques.

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